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L'inconnue du métro

Ecrit par cigalou
Parue le 03 juin 2011
Il y a 5 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 7846 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Bonjour mes chéries ! Cela fut difficile mais j’ai enfin fini par trouver une belle salope ! Le supermarché ne donnant rien, alors je me suis rabattu sur le métro. Et là, je suis tombé sur une superbe femme, en robe noire moulante ras la touffe et ras les nichons. Une belle rousse, aux cheveux longs frisés. Environ 1m65 et 60 kgs. Je lui donnerai entre 40 et 45 ans. Je me suis assis juste en face d’elle et j’ai commencé à la dévisager et à la regarder avec insistance. Elle m’avait également remarqué et voyant que je la matais, elle plongea également son regard dans le mien en me faisant un petit sourire. A cet instant précis, mon cœur s’accéléra fortement, j’ai cru que mes tempes allait exploser tellement j’étais excité. Avais-je enfin trouvé cette belle salope que je cherchais depuis quelques jours ? Il ne fallait surtout pas que je détourne le regard comme à mon habitude quand la timidité reprenait le dessus. Restant donc concentré sur ma proie, je lui rendis son sourire.

Pour mieux m’exciter peut-être, elle commença alors à croiser et décroiser ses jambes qu’elle avait très fine et très jolie du reste. Cela me permit de remarquer qu’elle ne portait pas de culotte. Je vis son petit abricot poilu, j’en avais l’eau à la bouche…Je remarquais également que cette séance de voyeurisme lui faisait de l’effet autant qu’à moi. Oui je devinais aussi qu’elle ne portait pas de sg, en voyant ses tétons qui commençaient à pointer à travers sa robe. Soudain elle se leva, en m’invitant du regard à la suivre. Je ne me fis pas prier et lui emboita illico le pas ! J’en profitais pour la peloter discrètement au passage en sortant de la rame de métro. Elle se laissa faire, ce fut bon signe pour la suite…sur l’escalator elle se tenait juste devant moi, une marche au dessus. J’avais une vue imprenable sur sa chute de reins, que je trouvais très désirable. Elle se retourna alors et je me retrouvais cette fois nez à seins avec elle. Quel délice, ils semblaient bien gros et proportionnés comme je les aime. Je bandais comme un fou, tellement j’avais envie d’elle ! Cela devait se voir…Arrivé en haut, elle me prit alors la main et me dit : « suit moi, je connais un petit square discret juste à côté ».

Une fois dehors, elle m’emmena dans un petit parc de quartier, derrière un bosquet à l’abri des regards. Elle s’agenouilla devant moi, et commença par défaire la braguette de mon pantalon, libérant ma queue tendue devant sa bouche gourmande ! Elle commença alors à me sucer avec délicatesse, me procurant un plaisir immense ! Ça y est je la tenais ma belle salope ! Elle suçait divinement bien ! Je pensais beaucoup à vous mes Amours pendant qu’elle me suçait aussi bien ! Sa main massait mes couilles gonflées et bien dures, tandis que sa langue léchait ma hampe avec délicatesse, puis sa bouche emprisonnait mon gland décalotté et le suçait comme un joli sucre d’orge. Elle allait et venait sur ma tige, j’étais aux anges mes chéries ! Au passage j’en profitais pour lui palper les seins à travers sa robe moulante. Puis ma main se glissa à l’intérieur du tissu, faisant jaillir ces deux beaux melons à l’air libre. Je les ai pris bien en main, les caressant et les malaxant avec désir. Le contact de ses bouts tous durs sous mes doigts était des plus agréables !

J’ai alors eu aussi envie de lui rendre le bonheur qu’elle me donnait ! Je lui dis de se relever et m’agenouillant à mon tour devant ses jambes, je lui remonte la robe sur les hanches et enfouis ma bouche entre ses cuisses ! Elle sentait bon, la salope en chaleur ! Cette senteur coquine m’enivrait, tandis que ma langue la fouillait en profondeur…elle mouillait la salope et je me régalais de ce breuvage exquis ! Mes deux mains agrippées à son petit cul musclé et le nez collé dans la toison velue de la belle, ma bouche baisait ses lèvres gonflées tandis que ma langue titillait son bouton d’amour tendu et excité. Je l’entendais gémir de plaisir, ce qui décuplait mes ardeurs sur ses trésors intimes. J’enfonçais alors deux doigts dans son vagin en feu tandis que ma langue continuait de lui triturer le clitounet. Je crois, à l’entendre pousser des petits cris étouffés et à sentir les sécrétions intimes qui s’écoulaient de son vagin dans lequel je m’étais introduit, qu’elle y prenait beaucoup de plaisir. Et moi aussi par la même occasion.

Nous avions à cet instant tous les deux envie d’approfondir un peu plus cette prise de contact. Le lieu n’était cependant pas des plus adaptés, et il fallait essayer d’éviter de finir au poste de police. C’est contre un arbre que nous décidons alors de poursuivre nos ébats. Entre temps, j’avais recouvert ma queue d’une petite protection en latex. Ma belle inconnue adossée contre l’arbre, écarta alors les cuisses et m’invita à la prendre en levrette avec cette bite bien dure et tendue qui l’excitait tant. Je me place alors derrière la belle, tenant ma queue à la main je la promène entre ses fesses et frotte sa chatte avec mon pinceau. Cette salope n’en peut plus d’attendre. Elle me supplie de la prendre sans tarder. Je m’exécute alors, comment lui résister ? Ma queue se présente alors devant sa moule trempée et se glisse entre ses lèvres dans sa foufoune en feu. Je suis en elle, jusqu’à la garde et je remplis bien son vagin, que je sens se contracter autour de ma bite. Je commence alors à coulisser dans son ventre, tout en palpant ses seins et son cul avec mes mains gourmandes. Tout d’abord très lentes, mes impulsions se font de plus en plus rapides. Quel plaisir divin….notre excitation est à son comble lorsque ne pouvant plus me retenir je vide mes couilles dans son ventre pilonné par ma queue surexcitée ! Elle ressent alors ma jouissance se libérer en elle et cela déclenche comme en écho une vague qui la fait exploser sous mes assauts. Quelle bonne baise mes Chéries ! Tout cela grâce à vous et à vos encouragements ! Je vous adore !

Les bonnes choses ont malheureusement toujours une fin. Nous restons quelques instants ainsi reliés puis je me retire. Elle enlève ma capote et se régale du jus qui était au fond de cette dernière puis nettoie ma queue avec sa langue gourmande (elle me rappelle une belle salope que je connais bien…). Il n’y a pas de doute c’est une belle cochonne, digne de vous mes amours ! Avant de nous quitter, nous échangeons nos prénoms (elle s’appelle Danielle) et je lui laisse mon numéro en lui disant que j’ai très envie de la revoir. Il me semble que c’est réciproque mais j’ai remarqué à son alliance qu’elle était mariée. Je resterai donc disponible si elle souhaite me revoir… seul l’avenir nous le dira...



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